mardi 27 janvier 2015

Pastel coats

Quand on a les cheveux bleus, s'habiller le matin devient un grosse prise de tête. Déjà, on peut revendre en vide dressing toutes les pièces dont la couleur ne s'accorde pas avec le bleu, c'est à dire la moitié de son placard. Du camel par exemple, pas possible. Pareil pour l'écharpe rouge, j'oublie. Et en cette période de pelage de miches, même problème pour le manteau. Du coup, j'ai eu envie de vous faire un article spécial manteaux avec mes favoris de la saison qui répondent parfaitement à ma problématique.


Tout d'abord, le manteau teddy bear Maje (il est sold out mais j'en ai trouvé un qui ressemble chez Darel), gros coup de coeur depuis Septembre, je ne le quitte plus. Ici je le porte avec un top &OtherStories, un pantalon bleu ciel Sonia by Sonia Rykiel (j'en suis dingue pour sa coupe parfaite et sa matière légère en crêpe de chine) et une bague Stelladot. C'est pas mal non plus avec le manteau long, non? Moi j'adore le combo manteau long et pantalon.





Mon petit craquage des soldes, le manteau bleu pastel de Gerard Darel qui match parfaitement avec la couleur de mes cheveux. Je le porte avec une robe nude Asos et une boucle d'oreille Stelladot.

Et puis, ma petite robe Sonia by Sonia Rykiel, je la porte avec un manteau assorti en néoprène de la même marque ou un manteau rose en laine et mohair Tara Jarmon. Vous préférez quel combo?
D'ailleurs, plus les collections passent, plus je me retrouve dans le style de la marque Sonia by Sonia Rykiel, que ce soit dans les coupes, les couleurs ou encore l'univers. C'est quoi vous, la marque qui vous ressemble le plus?


Les photos sont de Julie Perrot. Découvrez son travail sur son blog ici



Du coup, pour me débarasser de tout ce que je ne peux plus mettre avec ma crinière pastel, Samedi GROS VIDE DRESSING! Je vous donne rendez-vous au Café Madam de 12h à 18h, vous passerez?


jeudi 22 janvier 2015

Sunday streetstyle

Dimanche, comme tous les dimanches, je me promenais tranquillement en escarpins dans le Marais, le cheveu brillant de propreté, le teint travaillé et le sourcil brossé, lorsque soudain mon chemin croisa celui de la photographe Alix de Beer. Clic clic, elle immortalisa ce moment par un streetstyle, tout naturellement. C'est bien connu, la blogueuse est pimpée H24!



Ahah non en fait... ça, c'est ce que vous vous imaginez en voyant les shootings de streetstyle... ou alors ce que l'on essaie de vous faire croire pour vous vendre un peu de rêve. En vrai, dimanche, une fois n'est pas coutume, je me suis mise un coup de pied aux fesses pour troquer mes Stansmith cracras contre des escarpins brillants et me maquiller après avoir passé une heure à choisir ma tenue, parce que j'avais rendez-vous à 15h30 précises au métro St Paul pour me faire shooter le look par la super photographe Alix de Beer. Clic clic clic, 10 minutes plus tard je rentrais retrouver mon jogging.


Mais franchement, ça valait le coup de se faire violence parce que les photos sont canons, non? Et aussi parce que c'est un super privilège de se faire shooter par cette photographe de talent qui est en train de monter sérieusement. En plus ce fut une belle rencontre : potes, remise en question puis reconversion professionnelle après le cursus prépa/école de commerce/3 ans de CDI, nombres de followers instagram... on a plein de points communs!



Je porte un ensemble Zara (le pantalon est dispo en soldes ici), avec un perfecto Maje de l'année dernière, le sac Charlie de Lancel et des escarpins Comptoir des Cotonniers.


Est-ce que vous aimeriez voir davantage de photos streetstyle sur le blog?
Retrouvez le travail d'Alix sur son blog ici <3

mercredi 21 janvier 2015

Yellow & Blue

Pour le shooting Glitter Anaïs Anaïs, j'étais allée choisir quelques pièces de la collection été de Cacharel dans leur showroom. Du coup, avec Anna, on a profité d'une belle robe et d'une paire de lunettes funky pour faire quelques photos dans la cours de son immeuble. Je suis fan du rendu, je trouve que le bleu pastel fonctionne bien avec le jaune. Ce sont un peu mes deux couleurs fixette du moment vous voyez. 
Alors j'avoue, c'est en effet très léger pour la saison, mais c'est comme ça les bureaux de presse, en été ils ont de l'hier et vice-versa. Du coup ce matin je me suis retrouvée en petite robe colorée, les gambettes nues, sans chaussettes dans mes baskets, alors qu'il fait un froid de gueux. J'ai vraiment un dur métier vous savez ;)















Ne prenez pas exemple sur moi et sortez couvert mes poussins! Je vous embrasse,

mardi 20 janvier 2015

DIY Le pull façon Stella McCartney AH14/15


Voici un DIY que j'ai réalisé il y a deux mois et que j'avais hâte de partager avec vous! Je vous montre comment customiser un pull tout simple façon Stella McCartney, avec trois fois rien.
Pour reproduire ce joli pull du défilé de cet hiver, j'ai imaginé une technique au tricotin. J'en faisais quand j'étais petite avec ma mamie, il était en forme de champignon, pas vous? Ce n'est pas celui-là que j'ai utilisé ici, parce que j'ai préféré un tricotin automatique. Ba oui! Y'a de la longueur à produire quand même, j'ai pas que ça à faire non plus! Là c'est magique, en trois coups de manivelle, on a un beau boudin qui se forme.


Budget : 20 euros environ
Matériel :
-1 tricotin automatique (si vous ne voulez pas y passer des heures)
- 1 paire de ciseaux
- 1 aiguille
- 1 fourchette
- du fil à coudre rouge
- du fil de coton rouge, blanc et noir

1/ Il faut tisser plusieurs boudins de longueurs différentes avec le tricotin. On peut le faire avec de la laine classique mais je trouve cela plus joli avec du fil de coton rouge.

2/ Placer vos petits boudins partout sur le pull en essayant d'obtenir un ensemble harmonieux. J'ai fait un motif plus ou moins symétrique mais rien ne vous y oblige.


3/ Coudre chaque boudin sur le pull à l'aide du fil à coudre et de l'aiguille.


4/ Avec une fourchette, réalisez des petits pompoms en coton rouge, noir et blanc.


5/ Pour finir, il faut coudre un pompom à chaque extrémité des boudins.
Et c'est fini!

La première photo est de Solenne Jakovsky, je vous invite à découvrir son travail ici! <3

Tous les deux mois, retrouvez mes DIY en kiosques dans Paulette Magazine! Ce tuto est dans le Paulette Magazine "Je suis une Fille Tartiflette" actuellement en vente partout. A bouquiner au coin du feu!
Je vous embrasse,






lundi 19 janvier 2015

Blue Hair



Oups I did it again!
Mardi j'ai recoloré mes cheveux en bleus, oui oui! Moi qui n'ai rien changé depuis des dizaines d'année sur le plan capillaire, là j'ai envie de couper, de colorer ou encore de tout redécolorer. Et quand je vois les photos de moi avant, je me trouve tellement fade, c'est fou! Vous ne pouviez pas me le dire, sérieusement? ;)
En tout cas vous avez été nombreuses à me poser des questions sur ce bleu pastel sur les réseaux sociaux , alors voici quelques réponses :
- Le nom de cette couleur est Ocean Storm de la gamme Instamatic de Wella. Je l'ai trouvé au Bar des Coloristes dans le 1er. 
- Le Bar des Coloristes, c'est un endroit que m'a conseillé Katia et je trouve le concept  sympa. En gros, ce sont vraiment des experts dédiés à la couleur. La première fois que l'on y va, on a un diagnostic de notre couleur et des conseils sur ce que l'on peux faire ou pas + une prescription du tube de couleur adéquat + le matériel pour le réaliser à la maison ( bouillotte, bol, pinceau) pour 25 euros. Si vous voulez la faire appliquer sur place c'est 60 ou 65 euros il me semble. 
- La couleur tient environ 6/8 shampoings et après mes cheveux sont devenus gris. Je n'ai pas retrouvé mon blond platine mais ce n'est pas grave, gris c'est canon. Je l'entretiens avec les soins Silver Sublime de L'Oréal Professionnel pour éviter les reflets jaunes.
- C'est censé ne pas abimer les cheveux, mais ça, je n'en suis pas certaine. Mes cheveux ont pris bien cher! Il faut dire aussi que je leur en ai fait voir des toutes les couleurs depuis la première décoloration (et pour éviter que le bleu ne parte trop vite, j'ai réduit les soins...).
- Si vous voulez un résultat optimal, c'est à dire un beau bleu pastel uniforme, il faut obligatoirement passer par la casse décoloration.

Je pense avoir répondu à toutes les questions mais n'hésitez pas à me laisser un commentaire si vous en avez d'autres! Seriez-vous prêtes à franchir le pas?

Merci Anna pour la photo <3

Belle journée à tous,

jeudi 8 janvier 2015

#jesuischarlie

Je suis triste et en colère. Hier et ce matin j'ai pleuré devant ma télévision face à la folie et la haine de ces fanatiques, ces barbares, ces tarés, qui commettent des horreurs sous couvert de religion. C'est peut-être un peu naïf, mais la religion ne devrait jamais être source de haine, de conflit et de mort.

Je tenais à partager avec vous ma réaction par rapport à ce qu'il s'est passé hier. Même si je ne parle principalement que de futilités ici, j'ai de la chance d'avoir ce blog et d'être libre de pouvoir y écrire ce que je veux. Hier, ces terroristes, en massacrant la rédaction de Charlie Hebdo, ont attaqué cette liberté d'expression. C'est un attentat contre l'un de nos droits fondamentaux, contre la France et ce qu'elle représente.
Je regrette de ne pas être allée place de la République hier soir pour témoigner mon refus face à cette barbarie, cette montée en puissance du fanatisme et de l'intégrisme, cette dévotion aveugle de ces personnes à Daech, qui est une vraie menace contre notre liberté et la paix.

On se retrouve tous Dimanche à 15h?

J'ai réalisé ce stop-motion à partir d'une illustration de Samuel Eckert que j'ai trouvé très belle et poétique.

je vous embrasse,
Peace & Love

mardi 6 janvier 2015

De but en blanc

Ca, c'est le blond parfait. Le blond sur lequel je fantasmais en regardant les comptes instagram de it-girls scandinaves, le blond que j'essayais d'approcher le plus possible à coups de balayages depuis des années, mais qu'il n'est possible d'obtenir qu'avec une méchante grosse décoloration. C'est le blond idéal que j'ai porté 3 semaines après m'être enfin lancée, et que normalement j'aurais dû garder à tout prix tellement il était beau, sauf qu'un beau matin j'ai décidé de finalement tout foutre en l'air avec ma teinture bleue. Arffff, je m'en arrache les cheveux!

Il n'empêche que pendant ces quelques semaines de rêve capillaire, vous avez été très nombreuses à me poser toutes sortes de questions sur ce blond de bébé. Voici les réponses :

"Où vas-tu pour faire ton blond ?" -> Je vais depuis des années chez Dessange pour mon blond parce que, y'a pas à dire, même s'il faut y mettre le prix, ils sont très très forts pour trouver le ton juste. Depuis que mon salon fétiche rue Scribe a fermé, j'ai testé plusieurs autres salons et mon choix s'est arrêté sur celui du 1er, 6 rue du Chevalier de Saint George, calme et moderne. Demandez Enzo pour la couleur, et Rudy pour la coupe. Ils sont tous les deux adorables et je n'ai jamais été déçue. 

"Tu fais quoi pour avoir ce blond?" -> Avant il s'agissait de balayages + une patine tous les deux ou 3 mois, et maintenant il s'agit d'une décoloration + patine à refaire tous les mois à cause des racines hyper voyantes. La patine, c'est important. C'est ce qui va uniformiser la couleur et donner de jolis reflets beiges comme il faut.

"Est-ce que ça t'abîme les cheveux?" -> Franchement j'ai eu très très peur de me lancer, j'avais entendu tout un tas de trucs du genre :
-"Quand ça pose c'est insupportable tellement ça brûle et ça gratte". Et bien non, pas du tout. Ca chauffait un peu mais rien de très très désagréable, rassurez-vous.
-"Tu vas avoir les cheveux cramés et secs comme de la paille". Franchement non. Je pense que ça dépend de plusieurs choses, notamment la couleur de base et aussi la façon dont on les entretient. C'est sûr que ça demande une attention bien particulière. Ca, j'y viens après.
-"Tu vas perdres tes cheveux ". Je ne trouve pas que je les perds plus qu'avant, mais j'ai quand même perdu en densité. Ils sont plus fins. Par contre ils n'ont plus d'élasticité, ils se cassent super facilement, il faut faire attention. 
-"Tu ne vas plus savoir les démêler". Aucun souci en vrai! Encore une fois il suffit d'avoir les bons produits.

"Tu utilises quels produits?" :
J'applique de l'huile la veille des lavages et je dors avec. J'ai deux huiles différentes que j'alterne :  l'huile de Leonor Greyl et l'huile réparation d'Yves Rocher.
Je les lave quasiment tous les jours avec le shampooing au germe de blé pH 4,2 de Christophe Robin. Il est très très doux donc idéal sur mes cheveux sensibilisés et il préserve la couleur.
Ensuite j'applique je soin magique Blonde.Angel de Kevin Murphy à ne laisser poser que 1 à 5 minutes, et qui rend les cheveux tout doux et neutralise les vilains reflets oranges. C'est mon chouchou! S'il ne falait avoir qu'un seul produit, ce serait celui-là. Aussi, une ou deux fois par semaine, je mets le traitement sur mesure Blonde Idol de Redken qui est très efficace aussi. Un autre soin que j'avais avant et que je vous recommande:  le soin nuanceur de couleur de Christophe Robin.
Pour finir je mets le sérum de soie sublimateur de Leonor Greyl sur les pointes

Je sais ce que vous pensez : je suis une tarée! J'avoue qu'avec le budget que j'alloue à mes cheveux par an, colorations + soins, je pourrais partir 3 semaines en thaïlande, mais tant pis! Avec tout ça mon blond reste juste impeccable, blanc bébé scandinave comme j'aime et mes cheveux ne parraissent pas abîmés. Même Enzo était étonné.
Par contre le pauvre va tomber de son tabouret quand je vais débarquer avec mes cheveux gris délavés tout niqués. Le bleu les a bien bousillés cette fois :(


C'est quoi votre budget cheveux vous? Comme ça, de but en blanc, ça vous tenterait un blond platine? C'est quoi votre couleur rêvée?

Les photos sont de Anna Rakhvalova.

vendredi 2 janvier 2015

La résolution pour 2015

4 mois que je n’ai plus de mutuelle, 3 ans que ma carte d’identité est périmée, mais seulement 2 nuits pour terminer la saison 3 de Walking Dead… bienvenue dans mon monde merveilleux. 


Et il faut que je vous avoue, j’ai tout un paquet d’exemples semblables à ces deux là. Ma vie administrative est un désastre. Bon alors. 

> J’ai mis un an à changer l’adresse de mon auto-entreprise après mon déménagement, et du coup à harceler mon ancien colloc de sms tous les trois mois pour savoir s’il n’avait pas reçu mes papiers de l’Ursaff.

> En Mars dernier, j’ai quitté mon CDI par rupture conventionnelle. Lors de mon premier RDV chez Pôle Emploi, le conseiller m’a dit qu’il manquait un papier à mon dossier. Et bien cela fait 8 mois que je dois l’apporter à l’agence au coin de la rue. 8 mois que je ne suis toujours pas inscrite au chômage, et que je croise les doigts pour toucher suffisamment d’argent avec le blog pour vivre.

> J’ai mis 7 mois à signaler à la caisse d’Assurance Maladie que je n’étais plus salariée en CDI mais auto-entrepreneur à plein temps, et donc que je passais entièrement sous le régime de la RSI. Du coup j’ai une pile de feuilles de soins non remboursées qui traîne quelque-part… tant pis.

> J’ai des factures à envoyer à des clients depuis plus de 6 mois, et pourtant tous les mois je me plains de ne pas arriver à finir dans le positif.

> Cela fait 6 mois que j’ai commencé les démarches pour ouvrir un compte en ligne sur Hello-Bank, et aujourd’hui rien n’a avancé. Je galère encore à envoyer mes chèques à mon agence de Caisse d’Epargne en Picardie. 

J’ai pourtant fait une grande école de commerce, je suis pourtant capable de relever des challenges insensés dans la vie, notamment pour le blog, de passer des nuits blanches à bosser pour respecter une deadline etc etc. Mais lorsqu’il s’agit de remplir un formulaire et de l’envoyer, là je me retrouve aussi phobique que Thévenoud (que du coup j’estime de bonne foi même si cela peut paraître improbable quand on occupe un poste comme le sien). 

Non mais c’est quoi mon problème ? C’est étrange parce que je suis bien consciente de l’importance de tout cela. Je sais, rationnellement que ce sont des tâches qu’il faudrait faire passer en priorité. Comme si j’avais les moyens pour me permettre ce genre de choses! (ça coûte cher au final). 


Mais c’est comme un blocage, une appréhension à m’y mettre.

Chaque fois je trouve une tâche secondaire plus intéressante à faire. Faire les papiers, c’est du temps perdu, alors que mes journées me semblent déjà trop courtes pour faire tout mon travail. Et puis, il faut dire que quand je m’y mets enfin, on fait tout pour me mettre des bâtons dans les roues. Les démarches qui prennent 10 minutes au commun des mortels, moi me prennent des heures.
Conseillé qui me dit blanc et puis un autre qui me dit noir par exemple. Il y a aussi l’attestation de carte vital perdue, les mots de passe oubliés… Bim bam boum je me décourage, et c’est l’engrenage infernal.

Et les autres, parlons-en. Pour eux j’ai l’impression que tout coule de source, c’est rageant. Mes parents ou mon copain sont toujours à jour sur tout, et je passe pour la grosse je-m’en-foutiste. Ils font même leurs comptes après avoir gardé l’ensemble des tickets de caisse et de carte bleue, ils checkent même si leurs remboursements de sécu ont bien été faits, vous vous rendez compte ! Bref, tout ça me fait flipper. Je me fais flipper. J’ai peur que cette procrastination administrative ne m’oblige à me faire renoncer à mes projets. Il faudrait que je passe du statut d’auto-entreprise à EURL et ça me semble limite insurmontable en terme de paperasse. Déjà que simplement remplir ma déclaration pour l’Ursaff tous les trois mois représente une corvée…

Et vous, quel rapport avez-vous avec l’administratif ? Est-ce que cela affecte toute notre génération ou est-ce que je suis un cas isolé ? Vous croyez qu’une personne qui ne gère pas bien ces affaires privées peut en même temps être un professionnel efficace et qui respecte les délais ? Vous avez des solutions ?