mercredi 17 septembre 2014

CAP(E) SUR LE TRENCH

Vous l'avez presque toutes deviné! La marque que je portais dans l'article d'hier est bien Comptoir des Cotonniers, dans un esprit années soixante. Lorsque Comptoir des Cotonniers a évoqué la tendance "Nouvelle Vague" comme fil conducteur de sa collection AH 14/15, ça ne me disait que vaguement quelque-chose. Alors en Août, j'ai pris un grand plaisir à découvrir tous ces films cultes des 60s. La fantaisie d'Anna Karina dans Une Femme et une Femme, la sensualité de la mythique BB dans Et Dieu Créa la Femme, sa moue boudeuse dans Le Mépris... et puis j'ai découvert la beauté de Catherine Deneuve dans Belle de Jour et encore plus dans Les Parapluies de Cherbourg. D'ailleurs, sans que je vous dise quoique ce soit sur les photos teasing blog et intasgram, plusieurs d'entre vous ont évoqué Catherine. Cette comparaison est tombée comme un gros pavé enrubanté. Hop, je l'ai ramassé pour le mettre dans ma poche et pour le déballer les jours où je me sens grise. Bon, faut pas exagèrer hein. Je sais bien que sans le noeud dans les cheveux, le liner et le trench, il n'y a plus grand chose entre la belle et moi, mais je suis contente que le subterfuge ait fonctionné parce que c'est belle et bien elle ma muse Nouvelle Vague pour ce projet.
Pour mettre en scène la collection, le support vidéo était pour moi une évidence. Je voulais faire croire que l'on était dans un film de Godard de l'époque, et puis que d'un coup on se rende compte que non, qu'on se trouve bien en 2014 mais que les vêtements CDC, intemporels, se prêtent aux deux époques. Je vous raconterai les backstages dans un prochain article, mais sachez que j'ai pu compter sur une équipe de choc pour m'aider, des personnes avec qui je travaille depuis un moment et qui répondent toujours présentes : Olivier, Raphaël, Anna, Grégoire mais aussi Andrea et Pauline <3




CONCOURS

Allez, on continue à s'amuser! 


Dans la vidéo, on tourne une scène d'un film en noir et blanc. Et bien j'aimerais que vous essayiez d'imaginer le scénario de ce film "Cap(e) sur le Trench", l'histoire dont cette scène fait partie, ce que l'on va tourner maintenant que j'ai enfilé la cape... L'histoire la plus créative sera choisie par le Jury #CDCNouvelleVague, composé de personnes de chez Comptoir des Cotonniers et de moi-même, et son auteur sera récompensé du Trench ou de la Cape, au choix! Vous avez jusqu'au 24 Septembre pour me laisser un commentaire en dessous de cet article avec votre histoire. Il me tarde de vous lire! 

Voici quelques photos qu'a prises Anna, ça pourra peut-être vous inspirer.







Pour celles qui voudraient se recréer le look :

- Casquette : http://bit.ly/1me54io
- Chemise : http://bit.ly/XCbcWy
- Jean slim : http://bit.ly/1wD9frE

J'espère que cette nouvelle collaboration avec la marque vous plaît?


Je vous embrasse,

44 commentaires:

  1. Ouaiiiiiiis trop contente d'avoir trouvé, la collection est géniale!
    Deltrey de deltreylicious blog mode et beauté

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  2. CA-NON cette vidéo (et toi aussi!!) comme toujours ! bravo !
    j'ai justement flashé hier sur le trench-cape chez Comptoirs...
    hâte de voir la prochaine vidéo :)
    Laure de WoolKiss

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  3. Bravooooo, sympa ce ptit film .. et moi je continuerais sur ceci : ..

    "La voilà enfin comprise et libérée de cette homme si ennuyant sur son engin très 50's ... éprise de liberté la voilà qui enfile cette jolie cape pour s'aventurer en pleine campagne où elle croisera des animaux tels que chevaux , vache et moutons pour enfin rencontrer l'homme dont elle rêvait depuis toujours, cet homme torse nu la regardant continuer son chemin et qui en la voyant continuer lâcha sa fourche et alla à sa rencontre , la rencontre de la femme mystérieuse à la cape noire .. "

    Voilà cette petite suite qui j'espère tu aimeras ...

    Bonne continuation..
    Merci
    Isabelle

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  4. Ouh ouh la suite...

    Elsa n'en peut plus, il lui a brisé le coeur plusieurs fois et elle lui a toujours ouvert les bras car elle croyait qu'elle l'avait dans la peau....mais là ce fut l'égarement de trop. Elle est blessée et c'est fini. Elle renter chez elle, change de tenue et décide de partir quelques jours, de s'évader. Direction, la mer, la Bretagne...elle se ballade sur la plage, ramasse un coquillage et se demande ce qu'elle fait là lorsque soudainement elle entend un cheval arriver au galop....et dessus, un homme....il la regarde, elle soutient son regard et finit pas baisser les yeux mais se reprend, il la dépasse et s'en va au loin...Elle, elle se sent belle et libre...."

    j'espere a bientot
    Nath

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  5. Ehe j'avais tout juste, youpi
    Mmh je dirais:
    Il y a eu un crime il y a quelques semaines dans la région. Une amie proche de l’héroïne (Elsa) a été assassinée et tout le monde croit à un suicide. Elsa a compris que ce n'en était pas un et elle essaye de le prouver. Elle a enfin trouvé une piste sérieuse et a besoin d'aide pour prouver la culpabilité du suspect. Elle a enfin convaincu le-mec-en-scooter d'aller chercher de l'aide et le regarde s'éloigner à demi soulagée et à demi inquiète qu'il soit stoppé dans sa course. Quand elle le voit revenir quelques minutes plus tard, elle comprend qu'il a changé d'avis et ne croit pas l'intuition d'Elsa. Elle est très contrariée.

    Tout s'arrangera pour le mieux, Elsa prouvera la culpabilité du suspect et Plume gagnera une belle cape ;)
    :)

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  6. J'aime beaucoup, beaucoup! C'est magnifique... Voici mon histoire.

    Elsa a un rêve qui la poursuit depuis quelques années. Parfois, il vire au cauchemar, un cauchemar bruyant et qui la réveille, mais souvent, il se termine bien, enfin elle le croit, car quand elle se réveille, vite, les images s'évanouissent et elle n'a même pas le temps d'en profiter. Des quelques images qui sont restées dans son esprit et que le réveil n'a pas effacée, elle sait qu'un homme viendra, un jour, la voir, en cheval, et que ce sera l'homme de sa vie car il l'aura fait sourire, et surtout, surtout, rire.

    Car Elsa aime rire. Mais elle n'en a pas tellement l'occasion, elle habite encore chez ses parents, à la campagne, et s'imagine déambulant dans les rues de Paris grâce à son trench ramené par sa tante de la capitale. Elle se voit descendre les Champs, se maquille comme pour une soirée féerique sous les lampadaires, et tant pis si finalement elle est sur les routes de campagne, la voilà repartie à rêver.

    Puis elle voit un homme passer. Elle est prête à sourire. Mais quelque chose ne lui plaît pas. Elle ne lui dit pas, elle est timide. Ce bruit de moteur. Ce n'est pas comme dans son rêve, dans son rêve de conte de fées, ça, elle en est certaine. Alors elle décide de ne rien dire, même si son regard parle pour elle et rit déjà: derrière les grands cils, derrière les traits de khôl qui cachent sa timidité, ses yeux disent qu'elle aime cet homme.

    Alors pour conjurer le sort, Elsa enfile sa plus belle cape, prête à aller sur un cheval, avec lui, l'homme de sa vie. Et miracle, c'est en cheval qu'elle le recroise le lendemain, adieu moteur bruyant, bonjour doux rêve avec le doux son des sabots en toile de fond. Les voilà tous les deux à cheval, et la cape noire d'Elsa flotte au vent. Déjà on n'aperçoit plus que deux chevelures blondes qui se fondent dans le paysage... Deux chevelure de deux âmes qui se sont trouvées, en riant secrètement.

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  7. "Elle décide de lui pardonner et part le rejoindre sur les docks avant que son bateau ne quitte le port. Lorsqu'elle arrive, vêtue de sa cape qui ondule dans le vent, elle voit partir au loin un bateau. Elle est triste... Elle se retourne et là, adossé contre la porte du hangar (photo numéro 4), il est là et il l'attend. Elle le voit avec sa casquette de marin (il ressemble à Corto Maltese). Elle s'approche doucement, puis s'arrête. Ils se regardent. Il l'embrasse tendrement. Il la couvre de sa casquette de marin puis ils repartent bras dessus, bras dessous."
    Voilà ce que j'imagine.
    Lucie L

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  8. il fait froid et sombre. L'ambiance est plutôt flippante mais je crois que j'aime bien ça. J'ai enfilé mon trench, ça fait un peu cliché je crois. Encore plus quand on sait que j'ai un flingue dans la poche avant. La tension est presque palpable et je sens l'adrenaline montée plus j'avance sur cette route. "Fais ça sans réfléchir". Plus facile à dire qu'à faire. La concentration se lit sur mon visage, j'ai envie de faire ça bien, je suis plutôt du genre perfectionniste. Je le vois au loin. Il est ridiculement petit mais j'ai pas intérêt de le louper. Un petit bang et c'est fini. J'attends encore un peu, j'ai un timing à respecter. Je sors le pistolet et je tire sans le moindre état d'âme. Il s'écroule. Ca y est c'est dans la boite. J'entends le clap de fin et je relâche toute la pression. C'était la bonne prise. L'homme sur lequel j'ai tiré se relève et vient me féliciter, il a du rouge partout sur son t-shirt mais il a l'air content. Je suis vraiment une tireuse de talent.... mais surtout une actrice hors pair.
    Elise F

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  9. Cette jeune fille fait partie d'une famille agricole "de l'ancien temps" très protectrice peut être trop. Ils vivent hors du temps en vase clos un peu comme certaines communautés américaines.Écrasée par la pression familiale coupée de tout elle rencontre un jour un de ses voisins, un jeune homme charmant dont elle s'éprend.Toutefois elle conserve secrets ses sentiments de peur que ses parents ne l'en éloignent car cet homme n’étant pas issu de familles agricoles il pourrait détourner leur fille de son destin tout tracé de femme de riche exploitant agricole.Malgré tout,Ils se rapprochent, se confient et la jeune femme lui avoue son envie de liberté son envie de découvrir le monde.......
    Il lui propose de l'aider à s'échapper de cette vie qu'elle ne supporte plus.Elle accepte.
    Il lui trouve des vêtements modernes et la conduit en mobylette à quelques kilomètres de là sur le bord d'une route afin qu'elle prenne son envol.
    Prise d'angoisse et nourrissant des sentiments certains pour ce garçon elle lui propose qu'ils s'enfuient ensemble mais le jeune homme pris au dépourvu refuse et repars sur sa mobylette effrayé .Elle, seule devant son destin le regarde partir au loin...mais elle n'a pas d'autre choix que d'avancer cette liberté elle la veut elle la désire....quelques minutes plus tard il l'a rattrape et lui fait comprendre par des gestes et en la suivant sur sa mobylette qu'il viendra pour partager avec elle ce nouveau départ.

    Marie LOUBAT (dit Marie Lbt sur facebook)

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  10. je rajoute quand il l'a rejoins elle est un peu contrariée qu'il ne lui ait pas dit oui immédiatement et de sa réaction. Comme tout fille elle a un peu sa fierté. (mais elle finira par accepter sa compagnie)

    Marie LOUBAT

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  11. Super look! J'adore la cape. Voici le scénario que j'ai imaginé :

    " Après avoir vécu une rupture difficile, où elle était enfermée dans un rôle sans contrainte, et sans liberté, la voilà libérée de cette histoire d'amour où elle ne s'épanouissait. Elle porte cette cape qui représente comme les ailes d'un oiseau, elle est libre, épanouie, court et gambade sur ce chemin qui représente son nouveau champ d'avenir...

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  12. "Le taxi l'a déposée au plus près, elle y a laissé jusqu'à ses dernières pièces, et la voilà maintenant sur le bord de la route, à seulement quelques kilomètres du village, des années après. Un scooter vrombi au loin dans les champs, le bruit se fait assourdissant à mesure qu'il approche et s'atténue lorsqu'il s'éloigne. Elle avance, le regard au loin, chaque parcelle d'image lui rappelle mille souvenirs, mille courses d'enfants au milieu du blé. C'était il y a si longtemps. Elle était partie fièrement à la capitale, il y a cinq ans, certaine d'y retrouver son amour de vacances...

    Le scooter revient et ralenti à sa hauteur... "Eva, c'est toi ?", elle l'ignore, "Tu as changé..." Oui, elle a changé, rouge à lèvres sur la bouche et trench cintré, elle est une vraie parisienne "Tu nous as manqué, vient, monte, on rentre ensemble". Elle secoue la tête, non, Timothée, elle ne montera pas, elle a sa fierté pour elle, elle ne peut pas, pas encore.

    Elle ne peut pas dire qu'après seulement quelques jours à Paris David l'a jetée à la porte, pour une autre fille, une parisienne. Il lui a dit que c'était fini, qu'elle était un amusement quant il passait ses vacances à la campagne. Eva n'a pas pu, pas voulu, revenir en arrière. Elle venait à peine de planter sa famille en leur disant que sa vie était à Paris. Alors pendant cinq ans elle s'est battue, d'un petit job de serveuse à de la garde d'enfants, elle s'est fait une place. Mais hier elle a croisé le sosie de Timothée, et elle a eu envie de le revoir, de retrouver ses parents et de cesser de se débattre entre son passé et son présent. Elle a juste enfilé son plus beau trench, sa mère à toujours eu à coeur qu'elle soit élégante et elle a sauté dans le premier train.

    Elle est de retour au village. Et la, dans la boutique de vêtements de Sabine, en vitrine, une cape. Une cape identique à celle qu'elle portait lorsqu'elle a embrassé Timothée la dernière fois, avant de partir pour Paris. Elle entre, elle ne connait pas la vendeuse, achète la cape et volontairement laisse son trench dans la cabine d'essayage. Elle enfile la cape et lorsqu'elle se retourne Timothée est la...

    "Bonjour... toi aussi tu m'as beaucoup manqué" dit-elle, la voix un peu cassée par l'émotion. Ca y est, elle est à la maison.

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  13. J'aime beaucoup ces photos
    Il sont très jolies

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  14. La vidéo est charmante, pleine de mystère...

    A mon tour d'imaginer la suite alors...


    Elsa l'avait repoussé une dernière fois lui qui l'avait fait tant souffrir, lui qu'elle n'osait plus regarder dans les yeux tellement la douleur de le quitter était forte, lui qu'elle avait tant aimer, lui qu'elle avait suivi les yeux fermés dans cette vie de bandits... Ce dernier "casse" c'était mal passé, il était aller trop loin.

    Aujourd'hui elle devait être forte car un nouveau destin s'ouvrait à elle, une nouvelle page de sa vie se tournait. Elle ne supportait plus ce quotidien de peur, d'angoisse d'être retrouvée par la police et cet homme qui l'emprisonnait. Elle voulait un nouveau départ pour arriver à enfin oublier Lucas.

    Mais comment s'y prendre, comment y arriver alors qu'elle se sentait tant démunie sans lui...

    La seule solution qui s'offrait à elle était de tout quitter sans revenir en arrière et ne pas se retourner. Il fallait changer d'identité.

    Elle passa en coup de vent chez elle, se changea et pris ce qu'elle avait de plus cher : la cape de sa maman qui sentait encore son odeur si réconfortante et rassurante. Elle en avait besoin...

    Le taxi qui l'attendait l'emmena à l'aéroport et elle pris un aller simple pour New York. Elle se disait que là bas tout serait possible, même pour elle.

    Arrivée à JFK emmitouflée dans sa cape, elle prit une chambre d'hôtel pour réfléchir à ce qu'allait désormais devenir sa vie.
    Les jours passèrent... Elle se sentait comme un fantôme encore endolori par la douleur et à la fois émerveillée par tout ce qu'elle découvrait.

    Un jour dans un café elle rencontra Matthew, un homme charmant qui entama la conversation en lui faisant remarquer son doux accent français. Ils décidèrent de se retrouver chaque matin pour prendre le café. Tout deux avait besoin de réconfort et de tendresse à ce moment de leur vie. Lui venait également de vivre une rupture douloureuse et n'arrivait pas à terminer son roman. Ils partageaient en réalité beaucoup de points communs et appréciaient chaque jour un peu plus ces instants partagés.
    Petit à petit une relation forte naissait entre eux...

    Matthew la soutenait dans ses démarches pour ouvrir sa galerie d'art. Chaque jour elle reprenait des forces et avait davantage confiance en elle. Forte de cet amour sincère, elle mena une carrière et une vie brillante sans soucis et auprès d'un homme qui l'aimait de toutes ses forces.

    Jusqu'au jour où rattrapée par le passé, Lucas la retrouva... Il avait entendu parler de sa galerie dans la presse et souhaitait la ramener avec lui.

    Mais elle ne voulait plus de cette vie de gangster et trouva à nouveau le courage de le repousser. Malgré ses menaces, elle pris la difficile décision d'aller à la police et de le dénoncer. C'était la seule solution pour qu'il la laisse enfin tranquille. Même si cela impliquait un risque pour elle...

    La justice la condamna à quelques années de prison, rien à côte de celles prononcées contre Lucas.

    et lorsqu'elle sortit enfin de prison, Matthew l'attendait. Il l'aimait toujours...






    Aurélie (lilie2006@hotmail.fr)



    Un jour, lors d'un vernissage dans sa galerie, elle tomba nez à nez avec Lucas... Il l'avait retrouvée en lisant un article sur elle dans la presse. Il voulait la reconquérir, la sentir contre elle et ne plus jamais la laisser partir. Il regrettait tout ce qui c'était passé...

    Mais le temps était passé et désormais sa vie était auprès de Matthew.




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  15. Vidéo très bien réalisée, beau boulot !
    Dis moi quelle est la musique pour la partie en couleur stp ? merci

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    1. C'est la version instrumentale de Hunter - Pharrell Williams

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  16. Beau travail ! J'adore ♥

    http://www.takeitandwearit.wordpress.com
    http://www.facebook.com/takeitandwearit

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  17. Au delà du fait que tu sois et photogénique et vidéogénique(si ca se dit :p) tes projets sont toujours impeccable ! Oua je suis impressionnée et j'adore l'esprit de cette campagne !

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  18. Très sympa cette vidéo, c'est très bien réalisé !
    Je craque totalement pour la cape ;)

    Gwendoline
    http://depechesmode.com

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  19. La suite :

    Léo qui m'avait écouté pendant des années rêvasser, savait très bien au fond de lui qu'un jour je partirai. Ce jour-là, alors que cela faisait déjà quelques temps que je marchais, j'entendis sa mobylette. Je pouvais la reconnaitre à des km. L'idée de courir pour fuir ou me cacher m'a parcouru l'esprit pendant une fraction de seconde, mais c'était complétement idiot, il allait beaucoup plus vite que moi. J'étais coincée, il fallait que je lui fasse face. Lorsque mon regard croisa le sien je su que je prenais la bonne décision. Il n'avait rien à m'offrir, son avenir était déjà tout tracé et les éclaboussures de boue sur le bas de son pantalon troué témoignaient de l'univers dans lequel il vivait. Sans un mot, je tournis la tête et repris ma marche d'un pas certain. Je savais qu'il me suivait, je savais aussi qu'il aller me laisser partir, il n'avait pas le choix, lui aussi savait que c'était mon destin.
    10 ans ont passé depuis ce jour dont les souvenirs me reviennent régulièrement en tête. 10 ans et ma beauté est toujours intacte. 10 ans et mon trench est toujours dans mes valises au cas où un jour j'ai besoin de reprendre un peu d'assurance et me rappeler d’où je viens.
    10 ans et aujourd'hui je reviens sur le chemin de ma bataille, cette fois-ci habillée d'une cape noire. Élégante, chaude et sur mesure. Aujourd'hui je porte mon manteau, ma cape, ma création. Depuis 5 ans, j'ai ma propre marque de vêtement haute couture. Je crée des vêtements dans lesquels les femmes prennent conscience de leur force, de leur valeur. Je crée des vêtements qui leurs donnent confiance en elle. Comme on n’oublie jamais vraiment d'où l'on vient, j'ai retranscrit les valeurs inculquée par mon père dans ma marque pour que chaque pièce puisse être un investissement intemporel. Aujourd’hui je suis une femme épanouie et j’ai la chance de donner du courage et de l’assurance à de nombreuses autres.

    Merci de nous permettre de participer à ce concours. J'aime tellement Comptoirs des Cotonniers mais je n'ai pas toujours les moyens et il s'avère qu'on m'a justement volé mon Trench, serai-ce signe du destin aussi ? ;)
    Bonne continuation en tout cas, tu es ravissante et j'aime beaucoup suivre ton blog.
    Bonne journée.

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  20. ALLER ! Je tente ma chance comme beaucoup d'entre vous pour trouver LE scénario qui plaira à CDC et ELSA !

    C'est la fin de l'été dans la charmant village d'Elsa. Elle devait partir vers la capital pour faire ces études.
    Elle l'annonça à son amour de toujours le jour même de son départ. C'est avec colère et pleins de chagrin qu'il s'en va...Elsa avait une pointe
    de regret en le laissant partir ainsi, mais c'est comme ça qu'ils devaient se quitter pour que la pilule passe mieux et que chacun puisse continuer sa vie plus facilement.
    Puis, le jeune homme revient sur ces pas, la supplie de rester avec lui et lui promet une vie heureuse ici. Elsa refuse, son choix est fait, elle part à Paris.
    Il lui propose tout de même de l'emmener au moins jusqu'à la ville pour qu'elle puisse prendre son train. Elle accepta.

    Arrivée en ville, il se mirent à une terrasse de café et commençaient à se rappeler tout les bons moments de leur jeunesse.. Elsa arrêta son regard sur une femme
    qui attendais un taxi. Sa cap était magnifique, elle était obsédée par ce manteau très parisien. Elle s'avanca donc vers la femme, sans un mot. Elle lui parla longuement
    pour qu'au final les deux femmes s'échangent leurs manteaux. Pendant ce temps le jeune homme était entrain de faire un achat dans un boutique CDC.

    L'horloge sonne. 14H00, vite son train part dans 20 minutes.

    Son ami et Elsa court dans la ville à travers les gens. Ils trouvent ça amusant de courir comme deux enfants parmis la foule.
    14H16 ils arrivent enfin à la gare, Elsa commence à monter dans le train lorqu'il l'a retient par le bras. Il lui donna un paquet.
    Elsa l'embrassa une dernière fois et le remercia, elle lui promet de revenir dans quelques mois.

    Une fois dans le train, elle ouvrit le paquet.
    C'était une casquette en laine très années 60. Un petit mot était laissé : "N'oublie pas d'où tu viens."
    Elle sourit en regardant la campagne verdoyante défilée.

    FIN

    Angélique

    (farnault.ange@gmail.com)

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  21. La fin revue et corrigée de Bonny and Clyde.
    Elsa « Bonny » en avait assez de courir par monts et par vaux avec « Clyde », toujours à la recherche du mauvais coup à faire. Les casses, les poursuites en voitures et toujours le « flingue » à la main, c’était devenu un poids qu’elle ne pouvait plus supporter.
    Un matin, dans son trench, elle partit dans la campagne en quête d’une nouvelle vie plus à son image.
    « Clyde » l’avait dans la peau, et n’avait pas l’intention de la laisser filer… à l’anglaise.
    Il la rattrapa sur son scooter, essaya de la dissuader de partir. Mais, pour elle, c’était fini et bien fini ! Pas de retour en arrière possible. Sa nouvelle vie l’attendait …

    Bonne journée.

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  22. SYNOPSIS :

    La vie est parfois étrange, elle nous amène, nous démène, nous arrache mais surtout elle nous pousse en avant. Moi l’avant j’ai cru que jamais il s’emballerait et pourtant.
    La vie a ses mystères qui nous submergent et nous intriguent. Cette nouvelle route je vais la prendre seule. Et pourtant on a fait un long chemin ensemble. On marchait cote à cote depuis longtemps mais je ne te reconnais plus, peut être que nous somme tout simplement plus les même. Peut être que l’on a évolué, qu’on a changé, qu’on a grandi… La fougue, les désirs, la passion du début ont laissé place à cette monotonie qui m’emprisonne. Je veux découvrir le monde, aller de l’avant, croquer la vie à pleine dent. Non je ne la déteste pas cette vie, je ne la regrette pas non plus, je suis juste déçue. Déçue. Déçue de moi, de tout ça, de la vie que ne nous a pas laissé cette chance de continuer encore cette route ensemble. Mais je suis heureuse et enjouée de me dire que l’un sans l’autre on peut avancer. Je suis consciente qu’avant de courir il faudra réapprendre à marcher - l’un sans l’autre - mais je m’imagine déjà les cheveux au vent dans un champ de blé, le ciel ombragé et le sourire aux lèvres partant à la découverte du monde, du reste...
    Ta tête d’ange, ta main qui passe dans tes cheveux quand tu ne sais pas quoi répondre, ta moue boudeuse vont irrésistiblement me manquer, mais je veux les garder en mémoire pour me dire qu’ils m’ont accompagné pendant toutes ces années. Ces mots susurrés, à peine prononcés, nous permettent juste de nous dire au revoir, et prendre notre envol à nouveau.
    Laisses moi cette chance de pouvoir partir et avancer sans jamais taire ce que nous avons été.
    Je veux sentir la brise dans mes cheveux, goûter la liberté, enlacer la vie et parcourir le monde. Je le ferai sans toi. Voir la commissure de tes lèvres tressaillir quand tu comprends que c’est la dernière fois, que tu m’as prise dans tes bras me mortifie, mais…
    Envolons nous et courrons vers l’avenir au-delà de tout ça…

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  23. Trench oui c'est bien mon nom.... vous me reconnaissez sans doute je suis votre ami. Je suis toujours là pour vous protéger de la pluie du vent... Aujourd'hui, je vais vous raconter une belle histoire d'amour... une histoire hors du commun avec Elsa. Oh Elsa ma grande amie ! fidèle! je le pensais rien ne nous faisait peur nous luttions ensemble contre les intempéries... J'étais toujours été là pour la protéger en toute circonstance de la vie ... Je l'enveloppais de douceur. Je me rappelle un jour, lorsque le beau ténébreux l'avait laissée toute seule au milieu de nulle part... et oui j'étais là pour la réconforter. Elle m'a tout de suite saisie dans ses mains. ... et puis un jour ... comme une infidèle , elle m'a quitté.Elle a rencontré la petite Cape et elles sont devenues inséparables toutes les deux. Elle était magnifique, élégante ma petite Elsa... un brin chic (j'avoue j'en suis jaloux). Petite Cape prends soin de mon Elsa. Faites de belles promenades ensemble

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    1. Mon nom n'est pas apparu dans la petite histoire ci-dessus merci de rajouter Sophie S.

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  24. « La couleur de ses yeux, jadis si bleus, reflétait désormais l’ombre des nuages dans le ciel. Le bruit des larmes donnerait bientôt le rythme à cette triste complainte d’automne avec sa pluie et son vent qui emporterait avec elle les derniers souvenirs d’amour. Mais non elle ne pleurerait pas. C’était fini. Un dernier regard en arrière, elle entend le bruit de sa moto résonné comme un cri lointain, puis plus rien. Elle se retourne et marche, seule. Sa fierté et son manteau de coton pour seuls remparts contre la pluie et les larmes. Cette armure finalement c’était lui qui lui avait forgé. Ses mensonges. Ses cadeaux. Ses promesses. « T’es heureuse ? On appelle ça un Trench-coat, j’en portais un pendant la guerre et voilà que maintenant on les vend aux dames élégantes des beaux quartiers. Je les vois défiler toute la journée derrière le comptoir. Elles le veulent toutes ! ». Ce souvenir lui revient en mémoire pendant qu’elle continue à marcher. Elle entend le bruit de sa moto et sait qu’il va recommencer. Elle noue sa ceinture autour de sa taille et lève la tête. Il lui tend la main, une dernière promesse jetée dans un élan de désespoir. Non, tu peux partir, c’est fini. Sa peau était comme du coton, grise et douce. Il avait les épaules larges et donnait un sentiment de force et de confiance comme si avec lui, rien de mal ne pourrait jamais arrivé. Ses lignes régulières, la parfaite symétrie de ses traits. Il était beau. Il était grand. Malgré la vigueur de ses membres, il n’en était pas moins raffiné. Il plaisait à toutes les femmes. Lorsqu’elles passaient devant lui, elles rêvaient de l’emporter avec elles, ou l’inverse peut-être. Quand il l’enlaçait, elle savait qu’il l’a protégerait contre la tempête et le froid, contre la brutalité des autres. Il avait révélé sa féminité. Mais c’était quand il nouait les bras autour de sa taille qu’elle se sentait vraiment femme. Il l’avait faite femme… Elle savait qu’il était temps d’ôter ce manteau qui lui avait offert, elle devait lui dire adieu.
    Mais où trouver le courage ? L’amour est atemporel, et le chagrin aussi. Comme dans un film, elle se voyait l’actrice de sa propre vie. Ses maquilleuses, ses habilleuses, son directeur de la photographie, son script… Ils étaient tous là et lui disaient quoi faire désormais. Oui, si elle était Deneuve, Truffaut lui dirait « Tu es insoumise, alors ris, ris. C’est cruel la liberté. » Elle porterait un chapeau rond, une cape courte et des bottes de cuir faites pour marcher. Elle chevaucherait une vespa et s’envolerait vers le sud. Cap sur le danger, sur la passion, sur l’absolu. Il l’avait rendu femme, avec ce beau et long manteau gris qui la protégeait des autres, comme dans une chrysalide. Mais le papillon s’était épanoui à présent. Ses cheveux dorés et le bleu de ses yeux défiaient la chaleur du soleil ; elle déploya les pans de sa cape de coton noir et en fit des ailes. Le regard lumineux, le rire aux lèvres, elle s’envolait vers le soleil, cap sur la vie. »

    Sabrina K.
    violetteskmc@gmail.com

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  25. C'est l'histoire d'un couple de grands voleurs en fuite, ils se retrouvent à la campagne mais la jeune femme ne veut plus de cette vie et decide tout arrêter, l'homme en scooter essaie de la convaincre qu'ensemble il ne peut rien leur arriver. Elle ne s'en convainc pas et pose ses bagages dans ce village paisible pour vivre un vie tranquille. Mais résistera t- elle longtemps à l'appel de l'aventure?

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  26. Voici ma proposition:

    5 ans ont passé. 5 ans qu'Elsa n'était plus retournée sur les terres agricoles familiales. Devant, des champs de blé. Au loin, la maison rurale et le corps de ferme. Au milieu, Elsa, l'expatriée.
    De ses 6 frères et sœurs, elle est la seule à connaitre le succès. De son talent et travail, elle se forgeât un style, gravit les échelons, acquis une petite notoriété. Sa réussite professionnelle, bien que faisant la fierté de son plus jeune frère Théo, va causer une jalousie malsaine au sein de la fratrie.
    S'en suivra alors une succession de violentes déconvenues, de coups bas et mesquineries qui vont la pousser à rompre totalement avec son environnement familial. Délaissée de tous, elle bénéficiera néanmoins du soutien infaillible de Théo, qui la suppliera de rester s'imposer dans le foyer.
    Face à l'amour de l'un, et face à l'envie, l'amertume et la frustration des autres, Elsa tiendra t-elle le cap (e) ?

    Isabelle L.
    missy_863@hotmail.com

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  27. Allez je tente ma chance également car la cape me tente bien.

    Voilà cette fois c'est la bonne , c'est fini , je te quitte. Chacun part de son côté , lui en scooter et moi à pied. Rien ne vaut une balade même un peu forcée pour remettre ses idées en place. Je marche et je repense à ce qu'il m'a dit et fait , quel goujat ! Heureusement que j'ai mon trench car le ciel menaçant vire à l'orage. Il commence à pleuvoir, mes larmes se mêlent à la pluie. J'arrive enfin à la maison familiale de campagne. Un bon chocolat chaud pour me réchauffer. Mon regard fixe une malle. Elle contient des albums photos , de vieux jouets , des lettres, des souvenirs de famille, une cape et un béret . Je ne peux m'empêcher d'essayer cette cape . Elle est douce , lourde , chaude, elle me réconforte. Dans sa poche une lettre. Curieuse , je la lis. Elle me redonne espoir. Je sais ce que je veux , maitre de mon avenir , je garde la cape et je m'en vais vers une nouvelle vie . Je monte dans ma voiture décapotable direction le SUD ...

    Nathalye T

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  28. En tout cas top ton blog !
    Isabelle L.

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  29. vraiment super vidéo!!! j'ai adorée le passage du film à la réalité!
    très envie de tenter ma chance pour cette superbe cape!!

    Paris, année 60…

    Elsa est une belle jeune femme, la chevelure dorée et le teint rafraichissant. Ses parents travaillent dans une grande entreprise de textile « Mode’up ».
    L’industrialisation étant à son apogée, une nouvelle entreprise concurrente apparaît « Mode&co ». Pour l’entreprise familiale d’Elsa c’est la catastrophe, car Mode&co, avec ses prix imbattables commence déjà à faire de l’ombre à Mode’up.
    Elsa voit ses parents déprimés, perdus dans cette compétition.
    Elle doit réagir, et vite.
    Elle décide d’aller, un soir, espionner la concurrence. Cacher dans le noir, observant les machines, elle pense être seule.
    Quand tout à coup, une main se pose sur son épaule. Elle sursaute, et cris… mais quand elle se retourne, elle aperçoit, elle l’aperçoit, lui, un beau jeune homme.
    Emile, c’était le fils du directeur de Mode&co, il était beau, les yeux bleu mélangé de vert, une légère barbe de trois jours et un sourire à faire tomber. Emile prit la main d’Elsa et lui demanda qu’est-ce qu’elle faisait là.
    Elsa ne pouvait lui raconter la vérité, sinon elle savait qu’elle le perdrait. Elle lui répondit donc qu’elle s’était égarée et qu’elle cherchait de l’aide. Emile ni vu que du feu. Il l’invita boire un thé. Emile et Elsa passèrent la nuit à parler et rigoler, ils se rendirent compte qu’ils avaient pleins de points en communs.
    A l’aube Emile avoua à Elsa qu’il ne s’était jamais senti aussi bien avec quelqu’un et qu’il espéré la revoir rapidement. Elsa lui dit que c’était réciproque. Ils s’embrassèrent.
    Elsa parti le cœur lourd car elle n’avait jamais été aussi heureuse et aussi mal. Mal d’avoir menti à Emile, mal d’avoir trahi ses parents.

    Emile et Elsa se sont revus presque tous les jours. C’était de plus en plus dur pour elle de garder tous ces secrets. Un jour elle donna rendez-vous à Emile dans un petit coin de campagne, loin de tout, où ils avaient l’habitude de se retrouver. Elle était décidée à tout lui avouer.
    Elle l’attendait, inquiète, les poings serrés par la peur de perdre son amour.
    Dans sa tête tout vacilla. Elle changea d’avis et repris le chemin du retour. Elle marchait d’un pas ferme et décidé quand elle entendit la mobylette d’Emile.
    Elle fit comme s’il n’existait pas car elle était envahie par la peur. Emile lui tendit la main, afin de montrer à Elsa qu’il serait là pour elle. Elle refusa mais il insista. Il ne comptait pas la laisser partir, il l’aimait tellement.
    Au bout de quelques mètres Elsa pris son courage à deux mains et raconta toute la vérité à Emile. Emile surpris par cette révélation pris un instant pour réfléchir.
    Elsa était à deux doigts de partir en courant, quand Emile pris ses mains, la regarda dans les yeux et lui dit « je t’aime » en souriant. Elsa avait les larmes aux yeux.
    Il rajouta « cette guerre entre nos parents est stupide, je ne veux plus être au milieu, je ne veux être qu’avec toi, viens avec moi, partons, loin d’ici, allons découvrir le monde, je t’en prie dis oui ».
    Elsa le regardait les yeux écarquillés par cette proposition et du fond de sa bouche sortis un petit mot qui allait changer sa vie : « oui ». Ils s’enlacèrent et échangèrent plusieurs baisers.

    Elsa enfila sa belle cape et Emile un gros manteau noir, et ils partirent tous les deux, leurs silhouettes se dissimulèrent dans la nuit noire et on ne vit plus qu’au loin la chevelure doré d’Elsa qui se transforma peu à peu en une étoile.

    FIN.


    ça m'a fait plaisir de me lancer dans cette écriture hihi
    Bonne continuation à toi Elsa, j'adore toujours autant tes articles!!

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  30. Bonjour Elsa, je passais en couo de vent lire les nouvelles histoires publiées dans ces commentaires et je me suis rendue compte que mon commentaire n'était pas bien affiché. En effet il n'y avait pas assez de place dans le cadre des commentaires pour y écrire mon histoire en entière alors j'ai du l'écrire en deux fois, seulement par mis tous les commentaires n'est affiché que la deuxième partie de mon histoire, je souhaite donc m'assurer que vous ayez bien prit connaissance de la première partie. Si ce n'est pas le cas je peux la taper à nouveau puisque je l'ai enregistrée au cas où dans un traitement de texte. Tu peux m'écrire à cette adresse : capharnaum16@Gmail.com si pour me notifier de son absence . :)

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  31. Où suis-je ? À l'instant je flânais dans les rues parisiennes à la recherche de la pièce mode : un trench, cet intemporel élégant et unique .... Je l'ai trouvé ! Je sentais l'odeur de la pluie arriver, les badauds se hâter à la recherche d'un abri ... J'enfilais mon nouveau trench, sûre de moi, sûre de ma féminité. Je me sentais enrober de douceur ... tel un tourbillon suave et confortable. Je fermais les yeux afin de savourer cet instant. Je les rouvris mais ... à ma grande surprise, je n'étais plus dans les rues humides de la capitale mais sur un chemin entouré de champs ... un village au loin et, un homme sur une vespa ....
    Qui est-ce ? Où suis-je ?
    Étrangement, je ne suis pas inquiète. Pour pallier à la sensation de fraicheur soudaine, je décide de marcher en direction des habitations. Je réfléchis, emmitouflée dans ce mystérieux trench. J'avance, perdue dans mes pensées, m'interrogeant sur ce qu'il m'arrive lorsque l'homme à la vespa arrive à ma hauteur, me tend la main et m’interpelle :
    - Bongiorno, sono Gabriele. Non spaventarti, sali e saprai cio che ti capita
    Mais oui bien sûr pensais-je, l'Italie ... mais, comment est-ce possible ? Je fis signe que non, refusant sa main tendue ... Je ne pus m'empêcher d'y penser ... il portait un tee-shirt blanc, un chapelet, s’appelait Gabriele .... Je ne le voyais plus mais là, non loin de moi, un paquet avec mon nom "Elsa". Il était évident que ce Gabriele l'avait déposé. Comment connaissait-il mon nom ? Tout était de plus en plus flou.
    Prenant mon courage à deux mains, je décidais d'ouvrir le présent : une note
    "Tu veux voyager, être unique, être toi ... enfile-moi" et une cape magnifiquement moderne.
    La rêveuse intrépide que je suis déboutonna de suite le trench, pour revêtir cette cape. C'était la seule solution afin d'avoir le fin mot de l'histoire .... et là, encore ce tourbillon tel un cocon, mes yeux se ferment…Brusquement réveillée... À Londres ??!! En face de Big Ben !!! Mon dieu ! Ce sont donc les manteaux qui provoquent ces voyages intempestifs ! Encore sous le choc, je remarque à peine qu'un taxi noir s'est arrêté devant moi, la porte arrière s'ouvre …
    Gabriele ! En blanc avec son chapelet !
    - Bonjour Elsa... vas-tu me suivre cette fois-ci ?
    J'opte pour le taxi .... Je veux une explication ....La portière claque. Gabriele se tourne vers moi, comme lumineux, et, d'une voix posée m'explique l'incroyable : il a besoin de mieux connaitre la nature humaine et que lui est une version moderne de l'ange Gabriel. Il souhaite offrir la possibilité à une personne de découvrir à souhait différentes cultures, pays et d'en connaitre les valeurs. Le but serait pour lui, d'avoir de la compagnie, un point de vue humain et surtout d'être guidé dans un monde qui n'est pas le sien.
    Je restais bouche bée, émerveillée et effrayée à la fois. .... Pourquoi un trench ? Pourquoi une cape ?
    Gabriele s'attendait à cette question et n'en fut donc pas du tout surpris. Il me dit que pour lui, ces pièces vestimentaires représentaient la liberté et la chaleur .... C’est savoir s'exprimer, savoir se protéger .... Du froid, des maux. Je compris instantanément qu'il y avait insufflé de sa magie. Cependant, pourquoi moi ?
    Il sourit et me dit qu'il m'avait observé. Il me flatta en parlant de mon altruisme et de ma générosité. Je rougis.
    Il me dit qu'à chaque fois qu'un de ces "voyages" s'imposeraient, un message me parviendrait sous une forme ou une autre ... je n'aurais alors qu'à passer le trench ou la cape pour m'envoler vers ces contrées .... Pour me sentir libre d'explorer le monde, libre d’être moi .... Avec lui ....

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  32. Bonjour, moi aussi je participe à ce concours, fan de comptoir! voilà la suite que j'ai imaginée, tout en poésie..

    Elsa attends toujours Norbert depuis une demi-heure,
    Elle est bien dans son trench plein de douceur
    Mais elle manque terriblement de patience :
    Avec lui c'est les copains d'abord, et vive l'insouciance !

    Tiens le revoilà sur son vespa !
    Mais pour Elsa c'est trop tard
    C'est fini, elle en a marre.
    Elsa part à la conquête d'horizons nouveaux
    Le cœur meurtri mais bien au chaud
    Dans la cape de l'espérance,
    Déterminée. Sans indulgence.

    Bravo pour ton blog !

    Christine D
    i_limouzineau@hotmail.fr

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  33. Parce que je n’aime pas les films où tout nous est révélé. Et aussi parce que si j’avais une histoire d’amour j’aimerais qu’elle y ressemble, voici ma suite :)

    (Retour à la fin de la scène en noir et blanc)
    La scène se termine sur le départ du jeune homme et Elsa continue seule à marcher dans ce long chemin qui semble sans fin… Puis noir.

    (En 2014, en couleur)
    Retour à la scène de départ. On rejoue exactement les mêmes scènes, dans le même lieu, sauf qu’Elsa a désormais la cape et que ce jeune homme n’est plus là. Elle part marcher seule de nouveau, se retournant sans cesse, semblant le chercher.
    Elle revient à l’endroit où elle avait refusé de lui tendre la main la première fois.
    Il n’est toujours pas là mais sa vespa elle, est belle et bien là en plein milieu de la route. Elle regarde partout autour, personne. Pourtant les clés sont bien sur l’engin. Puis elle aperçoit un mot un des rétroviseurs « Cape ou pas cap? ».
    Elsa sourit, monte sur la vespa et part au loin… Le sourire aux lèvres, les cheveux au vent.
    Le retrouvera-t-elle ? Seule l’imagination de chacun nous le dira…

    (Lors de la scène finale où l’on voit Elsa partir au loin avec sa vespa, les couleurs redeviennent peu à peu au noir et blanc)

    tiffany.chenet@hotmail.fr

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  34. Elsa est une belle jeune femme blonde de 29 ans. Elle a choisi de s’investir très tôt dans le monde de la mode si bien qu’elle est aujourd’hui créatrice pour une marque peu connue certes mais qui met en avant la qualité de ses produits.

    Elsa est bien entourée, sa famille et ses amis occupent une place importante dans sa vie. Car les apparences sont parfois trompeuses. Même si elle croque la vie à pleine dents et s’investit sans compter pour ses proches ou son travail, Elsa manque d’amour. Oh bien sûr elle a eu des histoires mais toutes se sont terminées sur de mauvaises notes. Sa dernière histoire s’est soldée par un échec, Greg avait oublié de lui dire qu’il était marié. Il avait bien essayé de lui expliquer qu’il allait divorcer, qu’il s’en voulait de lui avoir caché la vérité.Elle avait choisie de se libérer et encore elle qui reprenait sa vie en main.

    Dans moins de trois mois, elle va présenter à Paris sa nouvelle collection hiver. Il va lui falloir travailler dur pour peaufiner ses derniers modèles, une cape et un manteau très tendance. Pour le reste elle avait déjà pris de l’avance travaillant parfois jusqu’à tard dans la nuit. C’était la première fois que sa marque avait l’occasion de se présenter à la capitale. Elle le savait, on ne peut donner une bonne impression qu’une seule fois.Les mois d’été furent donc studieux ponctués par quelques sorties entre copines au bord de la mer où elle exhibait fièrement ses dernières créations.
    Le jour J était arrivé, les mannequins rendaient hommage à son labeur à peaufiner les moindres détails. Les flashs crépitaient. Elle ne le connaissait pas encore mais Romain était là, camouflé derrière son objectif. Cela faisait déjà quelques années qu’il prenait en photo les différents défilés.

    A la fin du défilé, il décida de l’aborder, la complimentant sur son travail. Il lui proposa un café qu’elle refusa poliment mais elle se promettait de reprendre contact avec le photographe, il lui avait laissé sa carte.

    Elsa savait déjà qu’elle avait fait bonne impression. Elle avait d’ailleurs reçu une offre d’une grande marque parisienne. Mais pouvait-elle quitter sa région, sa famille et ses amis du jour au lendemain ? Ce pourquoi elle avait toujours travailler était arrivé, elle avait le pouvoir de progresser dans sa carrière en embrassant une vie parisienne et la possibilité de se faire un nom. Elle accepta donc l’offre.

    Elsa pris ses marques. Elle savait que cela ne pourrait durer toute sa vie, le rythme parisien était étouffant même pour une battante comme elle. Mais quelque part ce changement de vie lui plaisait. Elle n’avait pas autant de responsabilité qu’avant dans son travail mais elle était libre de créer ce qu’elle voulait.
    Quelques semaines passèrent, Elsa retrouva par hasard la carte de Romain. Et elle se décida à le rappeler.
    Ils se donnèrent rendez-vous à la terrasse d’un café, un beau jour d’hiver. Elle le trouvait beau, tout dans son look indiquait qu’il prenait soin de lui.Durant plusieurs semaines Elsa et Romain continuèrent de se voir dans ce café, se trouvant des points communs. Romain n’était pas parisien, c’était un provincial comme elle et lui non plus ne se voyait pas rester toute sa vie à Paris. Un soir, alors qu’ils sortaient du cinéma, il se décida à l’embrasser.

    Quelques années passèrent,ils avaient la même réussite dans le travail et même si leurs métiers étaient différents, les défilés, la mode les rapprochaient.Mais tous deux savaient qu’ils avaient besoin de donner un nouvel élan à leur histoire.
    Romain proposa un retour en province. Il était l’heure de se poser en entamant un nouveau projet de vie.

    Grâce à leurs expériences et l’argent durement gagné, Elsa et Romain purent reprendre l’entreprise familiale dans laquelle elle avait commencé. Le fait de travailler ensemble accentua leur complicité. Les différents contacts qu’Elsa et Romain avaient pu nouer à Paris les aidèrent à viabiliser l’entreprise.Ce fut un nouvel envol pour la marque.

    Caroline ( r.caro@orange.fr)

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  35. Un couple (toi et le jeune à moto, donc) sont en vacances dans un petit village de France. Un matin, une grosse dispute entre eux. Elsa Deneuve décide de rentrer à Paris sans attendre, las des plaintes de son compagnon qui dit s'ennuyer. Elle guette une petite route déserte de bon matin en espérant qu'un conducteur l'y emmènera. Il essaie de la rattraper à moto, « Allez viens, ne fait pas n'importe quoi, on rentre ensemble !», elle s'y refuse (la scène de la vidéo). Finalement une voiture arrive mais Elsa est tombée sur le charme de cette promenade au grand air. Elle ne voyait pas les paysages de la même manière avec lui, elle ne les voyait pas, il ne voulait pas qu'elle les voit. La nuit tombée elle se décide finalement à retourner à l'auberge dans laquelle ils passaient leurs vacances. Il est parti. Elsa laisse tomber le trench d'une Catherine Deneuve amoureuse mais fragile et enfile la cape d'une Anna Karina indépendante et décidée. Décidée à profiter de ces paysages, décidée à s'aventurer là où elle pouvait pas aller. Une fois rentrée à Paris, tout change, plus ne l'impressionne dans cette ville qui désormais l'étouffe. Elle finit par s'installer dans ce petit village et raconte dans un livre comment la Parisienne qu'elle était à laisser tomber le trench pour revêtir la cape rurale pendant un an où se sont enchainés les défis. Par ce livre au succès inattendu, Elsa a chamboulé la vie des Parisiennes qui rêvent maintenant de campagne, de choses simples...en gardant la même classe féminine, la classe CDC.

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  36. L'histoire est basée sur le côté femme (trench) et le côté enfant (cape) qui divisent l’héroïne.
    La belle héroïne a deux fortes personnalités. Son côté femme les pieds sur terre, qui sait ce qu'elle veut ou ne veut pas et son côté enfant, elle croit encore aux contes de fées, raffole de sucres d'orge et ne veut pas croire que sa vie est déjà toute tracée.
    Ils se sont finalement bien trouvés ces deux là : un amour passionnel, destructeur mais bien réel. Lui avec son scooter, part pour mieux revenir, il se fait chasser, mais ca lui est égal il sait qu'elle chasse aussi son penchant mature et assuré. Elle revêt la cape et lorsqu'il revient une seconde fois elle lui arrache son chapelet ! Les perles en bois volent et rebondissent un peu partout, elle éclate de rire. Elle essaye de le mettre en colère. Peine perdue, il a eu ce qu'il voulait, il vient de retrouver son côté sauvage et enfantin. D'ailleurs il ramasse les quelques perles restantes sur un fil pour les lui attacher autour du poignet. Le temps de lui voler un baiser, il est déjà reparti sur son scooter.

    Merci Elsa, j'ai longuement hésité avant de participer, pas facile;) !
    Belle journée !
    louiseetclo@gmail.com

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  37. Je tente ma chance, voici l'histoire que j'ai imaginé:
    Elsa avait choisi, elle ne voulait pas suivre une destinée tracée selon les souhaits de son père : travailler dans l'exploitation agricole familiale comme ses deux frères et sa sœur. Elle aimait cette vie rurale et paisible au grand air mais elle était animée de rêves d’ailleurs, de soif de découvertes et de nouvelles rencontres. Cependant, après l’obtention du certificat d’étude, sa famille ne pouvait pas la laisser poursuivre des études à son grand regret. Avec les économies réalisées grâce à son petit boulot de vendeuse de fruits et légumes sur le marché du village, elle décida de partir dans un pays vers lequel elle rêvait d’aller depuis sa tendre enfance : l’Angleterre. C’est alors qu’Elsa quitta ce village tant aimé pour devenir jeune fille au pair dans une bonne famille londonienne de Notting Hill, laissant derrière elle son flirt de jeunesse : Thomas, le fils du vigneron, qu’elle avait rencontré sur le marché et avec lequel elle avait eu ses premiers émois, ce cœur palpitant et des étoiles plein les yeux. Durant son année londonienne, Elsa pensait souvent à lui, il lui envoyait des courriers enflammés et culpabilisait de ne pas l’avoir retenue. Néanmoins, elle avait changé de vie maintenant, vivait en métropole, côtoyaient les gens de la ville, s’imprégnait d’une nouvelle culture et profitait de cette liberté qui s’offrait à elle. Les grands rassemblements de jeunes à Tower Bridge, les premiers concerts des Beatles et des Kinks, les représentations des pièces de Shakespeare au théâtre du Globe, les ballades de nuit auprès de la Tamise, elle goûtait à une nouvelle vie avec cette famille charmante qui l’accueillait. Le printemps arriva et Judith, la mère de famille lui proposa de rentrer passer quelque temps chez elle durant la période estivale avant de les retrouver sur la côté anglaise, à Brighton. 26 Juin 1965, 14h, , à l’approche du départ, Elsa était à la fois excitée de ce retour en terre natale et mélancolique de quitter cette ville à laquelle elle s’était tant attacher. A l’arrivée en gare provinciale, il était là, elle l’aperçut au loin, des fleurs à la main, il avait changé mais il arborait toujours ce regard aussi perçant et profond, elle se dirigea vers lui le souffle haletant et les mains moites. Face à face, les yeux dans les yeux, c’est comme si le temps s’était arrêté, Thomas la serra dans ses bras en lui murmurant à l’oreille à quel point elle lui avait manqué. Il l’emmena sur son vespa, il lui avait préparé une surprise, elle le tenait par la taille comme si rien n’avait changé, la tête sur son épaule. Au bord d’un champ, à l’ombre d’un cerisier, à la lueur du crépuscule, il lui avait préparé un dîner romantique. Complicité et magie entouraient ce repas, entre rires et regards audacieux, ils partageaient un pur moment de bonheur.

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  38. Comme tout ne tenait pas sur un seul commentaire, voici la suite: Elsa le sentait au plus profond d’elle, il l’attirait, elle l’embrassa et ils passèrent la nuit ensemble. Réveillée à l’aube par le chant des oiseaux, elle était en proie au doute, elle aimait Thomas mais cette vie ici ne lui offrait pas les perspectives d’avenir dont elle rêvait. Les yeux humides, la voie tremblante, elle lui annonça sa décision : elle souhaitait retourner à Londres et commencer des études de théâtre. Dans un élan mêlant tristesse, déception et colère, il la déposa sur le bord d’une route en l’accusant de lui avait fait croire en une relation qu’elle ne lui offrirait finalement pas. Elle le regarda partir au loin puis marcha dans l’autre sens, vêtue du trench offert par Judith pour son anniversaire, le regard vide, la culpabilité qui s’emparait d’elle, le vent glacial dans le dos. Elle réfléchissait encore et encore, était-ce le bon choix ? Elle noua ce trench qui lui remémora tant de souvenirs : cette ville qu’elle affectionnait tant, Bryan, le garçon rencontré au concert des Beatles, la complicité qu’elle partageait avec Judith, la possibilité de suivre des études qui la passionnaient…Le bruit du vespa retentit derrière elle, il était là, la suppliant de rester, lui promettant de lui offrir une vie meilleure mais elle venait de réaliser une chose : avec Thomas, c’était un très belle parenthèse enchantée mais ce à quoi elle aspirait vraiment se trouvait ailleurs. Le cœur lourd mais animée par la soif de liberté, elle refusa ses propositions et la main qu’il lui tendait. Avant de repartir, Elsa désirait ramener quelque chose de son village, elle alla avec sa mère chez la couturière du village qui tenait une petite échoppe et elle tomba littéralement sous le charme d’une cape bien chaude, idéale pour affronter les hivers anglais. Sa mère déposa un béret sur sa tête et lui dit « N’oublies pas que je pense à toi chaque jour et que je crois en toi ». Elle la serra une dernière fois dans ses bras avant d’entamer ce long trajet en direction de Brighton, Elsa se sentait rassurée et plus forte que jamais. Au courant du mois de Septembre 1965, elle entama des études de théâtre dans une prestigieuse école d’art dramatique londonienne.
    26 Février 1970, Elsa, devenue une comédienne reconnue, donnait une représentation de Roméo et Juliette de Shakespeare à La Comédie Française à Paris. Une fois, la représentation terminée, elle regagna sa loge et y trouva une enveloppe. Intriguée, elle s’empressa d’ouvrir la lettre : « Tu as été superbe dans cette représentation, je ne t’ai jamais oublié et j’ai aussi poursuivi mes rêves à la capitale, es-tu prête à vivre une romance parisienne ? Retrouves-moi sur le pont des Arts dans 2h. Thomas ». A la fois stressée et pressée de la retrouver, elle mit son béret et décida d’aller à sa rencontre. To be continued…

    Amélie (melimelo.69@hotmail.fr)

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  39. Petite erreur de ma part, de le retrouver à la fin et non pas la :)

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  40. Bonjour Elsa,
    J'ai publié mon histoire lundi et elle ne s'est pas affichée, je l'ai republiée hier soir et je ne la vois toujours pas dans le fil de commentaires. L'as-tu reçue quand même? Je l'ai publié sous le post dédié sur la page Facebook CDC sinon. Merci
    Amélie

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